Archive for 2018

- Le ministre de la santé Oly Ilunga, a démenti le mercredi 23 mai 2018, la rumeur selon la quelle l’apparition de la maladie à virus Ebola dans la ville de Kinshasa. Il a signalé qu’après les investigations cliniques et épidémiologiques à l’hôpital général de référence de Kinshasa (Ex-maman Yemo), il s’avère que la patiente venant de Brazza ville interceptée au port de Beach Ngobila présentait une jaunisse non liée à la maladie à virus Ebola. Il a demandé à la population kinoise d’éviter de propager des rumeurs et informations non revivifiées qui risquent de créer la panique et de nuire à l’efficacité de la riposte contre l’épidémie à virus Ebola. Oly Ilunga a souligné que cette épidémie qui apparait pour la 9ème fois en République démocratique du Congo, dont des cas confirmés ont été enregistrés particulièrement dans la province de l’équateur. Syvie Meta/MMC
- Trente (30) mariages ont été enregistrés de janvier à avril 2018, dans la commune de Lemba, a appris mercredi l’ACP, du chef de service au bureau de l’Etat civil de cette maison communale, Sylvain Kinana. Ces enregistrements, constituent des actes civiques qui se posent en conformité avec le Code de la famille, a dit M. Kinana, soulignant que les couples doivent se faire enregistrer deux semaines avant la célébration du mariage pour que leurs noms soient affichés aux valves de la maison communale. Par ailleurs, ce préposé de l’état, a invité la population à procéder au mariage civil, car, c’est un engagement vis-à-vis de l’Etat et ce type de mariage assure la protection des parents et des enfants en cas du décès d’un conjoint. ACP
- La machine ne tourne plus à la Société congolaise des droits d’auteurs et droits voisins (SOCODA),
renseignent des sources proches de l’entreprise. Face à ce qu’ils qualifient de mauvaise gestion et d’abus de pouvoir par le Conseil d’administration, des artistes-créateurs des œuvres d’esprit et associés-coopérateurs de cette entreprise ont déposé une plainte à charge du PCA Kiamwangana Mateta Verkys auprès du Parquet général près la Cour d’Appel de Gombe pour faux et usage de faux en écriture et abus de faux biens sociaux. Les plaignants accusent Kiamwangana Mateta Verkys d’avoir modifié les statuts régissant le fonctionnement de cette entreprise, sans consultation, ni approbation de l’Assemblée générale, conformément à l’article 366 de l’Acte uniforme OHADA sur les sociétés coopératives. Pire encore, confient les mêmes sources, Verkys se serait permis de faire publier, par des moyens retors, ces statuts tels que modifiés au Journal officiel. A en croire la partie accusatrice, Verkys Kiamwangana a défié les autorités du pays en publiant ces statuts au Journal Officiel. Ils ont, preuve à l’appui, brandi la lettre du directeur de cabinet du ministre de la Culture et des Arts du 8 juin 2016, le sommant de ne pas faire publier ces statuts ainsi modifiés. NON RESPECT DES RECOMMANDATIONS DES AUTORITES Il a été rappelé au PCA dans cette correspondance, les réunions de l’Assemblée générale, tenues du 14 au 16 juillet 2015, au cours desquelles lesdits statuts ont été adaptés à l’Acte uniforme de l’OHADA et à l’issue desquelles 53 articles ont été votés et adoptés. "Plusieurs démarches ont été menées, sans succès, pour décourager Verkys Kiamwangana de falsifier les statuts de la SOCODA", indiquent les plaignants. En réaction à une pétition de certains affiliés, la ministre Astrid Madiya a écrit au Secrétaire général à la Culture et aux Arts, le 23 juin 2017, pour lui demander de mettre en place une mission de consultation devant vérifier toutes les allégations formulées à l’égard de Verkys. La dernière pétition en date, dont copie a été réservée à la ministre de la Culture et des arts, remonte au mois de mars dernier, apprend-on. Il fait suite à la publication des statuts falsifiés et portant 80 articles dans le journal officiel. Dans ce document, le quart des sociétaires de la SOCODA, signataires de cette pétition a appelé à la démission immédiate de Verkys Kiamwangana. DETOURNEMENT DES DENIERS PRIVES Plusieurs autres préventions sont mises à charge de Verkys Kiamwangana dans cette plainte. Au-delà de la falsification et de la modification des statuts en dehors de toute réunion de l’Assemblée générale, ces administrés de la SOCODA reprochent à leur PCA d’avoir détourné des fonds sociaux liés à la prestation des artistes congolais et facilité l’opacité dans la répartition des droits d’auteurs en faveur des non-membres de la SOCODA. Il est, par ailleurs, reproché à Verkys le refus catégorique de convoquer l’Assemblée générale ordinaire, conformément à l’article 364 de l’Acte uniforme OHADA et des articles 33 et 34 des statuts régissant le fonctionnement de la SOCODA. Plaidant pour l’annulation de ces statuts de 80 articles, les plaignants appellent les autorités à suspendre le Conseil d’administration dirigé illégalement par son Président, tout en diligentant un audit extérieur, avant de rétablir l’ordre, la discipline et la transparence dans la gestion de la SOCODA. QUE LE DROIT SOIT DIT EN TOUTE EQUITE " Nous invitons les autorités judicaires à dire le Droit en toute équité dans cette affaire. Entre temps, les statuts initiaux de la SOCODA, du reste, approuvés par le président de la République et publiées au Journal Officiel en date du 15 octobre 2011,et harmonisés avec le droit OHADA restent d’application", ont-ils conclu. Forum des As
- Il s'agit de son premier meeting après le congrès organisé en décembre 2017 à Kinshasa, qui avait pour thème «Normalisation, réconciliation et revitalisation du parti».
La même source souligne qu'à quelques mois de l'organisation des élections, Bruno Tshibala Nzenzhe entend encourager les militants de son parti à préparer sérieusement ces échéances électorales. Le Premier ministre, Bruno Tshibala, préside un meeting ce samedi 26 mai à la Foire internationale de Kinshasa, FIKIN où, affirment des sources, le compagnon de feu Etienne Tshisekedi promet de faire des révélations. Mais des révélations à quels sujets ? Là est toute la question. Sur l’UDPS ? Va-t-il dévoiler le mystère sur la lettre du Sphinx de Limete aux évêques de la CENCO en rapport avec la Primature ? Ou va-t-il fixer l’opinion sur son éventuelle alliance avec la Majorité présidentielle ? Dans un sens comme dans l’autre, la communication de Bruno Tshibala revêt beaucoup d’intérêt. Commençons par l’UDPS. La bataille pour le label de l’Union pour la démocratie et le progrès social ne faiblit pas. La publication de la liste des partis politiques habilités à participer aux élections a exacerbé davantage la question avec la reconnaissance de quatre ailes qui ont toutes la même dénomination. Depuis Washington où il séjourne, Félix Tshisekedi a déclaré "le pouvoir vient de fabriquer deux autres UDPS (sous-entendu Tshibala et Mubake, Ndlr ). Il va sans dire que Bruno Tshibala va lui répondre. Lui qui se veut l’héritier politique de feu Etienne Tshisekedi. Trente-sept ans de lutte aux côtés de l’opposant historique, ce n’est pas rien, selon lui. Il affirme que c’est lui que feu Etienne Tshisekedi avait désigné comme Premier ministre. Et c’est dans cette veine là qu’il a organisé le 10 décembre 2017 le congrès à l’issue duquel il a été porté à la tête de l’UDPS. Depuis, il revendique la légalité du parti. Et, par sa position actuelle, le chef du gouvernement s’est rallié bien des personnalités. A la 11ème rue Limete, ces assises ne sont pas reconnues par le tandem Félix Tshisekedi-Jean Marc Kabund qui dirige l’autre aile du parti. Ce duo dénie à Bruno Tshibala l’héritage politique d’Etienne Tshisekedi dont il se prévaut. Mais le Premier ministre et ses partisans entendent faire jouer le droit pour les départager. A la rencontre de la FIKIN, Bruno Tshibala va-t-il dévoiler le mystère qui entoure la lettre écrite par Étienne Tshisekedi quelques jours avant sa mort, et dont son destinataire est bien le président Joseph Kabila ? Pourra-t-on en savoir un peu plus sur son contenu à la suite des révélations de Bruno Tshibala ? Selon certains, le courrier contenait le nom du futur Premier ministre, poste qui devait revenir au Rassemblement selon les termes de l’Accord de la Saint-Sylvestre. Sur qui Étienne Tshisekedi avait réellement porté son choix ? Son fils, Félix ? Ou son compagnon de lutte Tshibala ? Enfin l’autre sujet sur lequel les partisans de Tshibala attendent d’être fixés est l’orientation par rapport aux élections à venir. Depuis un certain temps, on parle dans la ville haute d’une dynamique qui déboucherait sur une méga plateforme qui réunirait les forces politiques issues de l’opposition avec la MP. Jusqu’ici le Premier ministre Bruno Tshibala sous sa casquette de l’autorité morale de l’UDPS qu’il dirige ne s’est pas encore prononcé sur la question. Le Premier ministre va-t-il faire partie de cette méga plateforme en gestation ? La réponse ce 26 mai. C’est déjà demain. Forum des As
En République démocratique du Congo, des affiches, des calicots et autres banderoles sont apparus en plusieurs endroits pour soutenir la candidature du président Joseph Kabila. Face aux réactions parfois violentes de certains habitants, l'autorité urbaine a ordonné aux bourgmestres de mettre fin à
cette précampagne. Rencontré devant une banderole de soutien à Joseph Kabila, cet habitant de Kinshasa n’y voit pas autre chose qu’un début de campagne électorale : « C’est une violation flagrante de la Constitution. La campagne n’a pas encore commencé, c’est une précampagne de mauvais goût. Je pense qu’ils doivent enlever ». Pour ce jeune cadre de l’enseignement supérieur et universitaire, la majorité présidentielle a dévoilé son jeu : « Maintenant tout est clair que la majorité au pouvoir tient à soutenir Kabila pour un troisième mandat ». C’est à dessein que ces calicots sont placés dans des endroits sécurisés, explique un autre interlocuteur : « Ceux qui les placent ne sont pas sûrs que ces calicots peuvent demeurer longtemps. C’est pour cela qu’ils essaient de les placer à des endroits où il y a probablement la police, où il y a probablement l’armée ». En tout cas, de nombreux habitants de Kinshasa ne manquent pas d’évoquer le statut actuel du président Joseph Kabila : « Ecœurant et aberrant. Lui qui est à la fin de son mandat, comment il peut encore se représenter ? Ils veulent se moquer de qui ? » Devant autant de réactions de désapprobation au sein de la population, le gouverneur de la capitale vient de demander cette semaine à tous les bourgmestres d’enlever les affiches, les calicots et les banderoles qui frisent la précampagne électorale.
Un couple d’Américains a été forcé de saisir la justice pour se débarrasser de leurs fils. Âgé de 30 ans, il refusait de quitter le domicile familial. Michael Rotondo, 30 ans, vit depuis huit ans avec ses parents à Camillus, près de New York. Toutefois, agacé par la situation, le couple lui a suggéré de vendre sa chaîne stéréo, des outils et certaines de ses armes pour se faire un peu d’argent et se loger ailleurs. Mais en vain ! En effet, Michael a refusé de quitter le domicile familial. Ses progéniteurs lui ont alors proposé 1.100 dollars pour qu’il parte. Selon L’essentiel, l’homme a accepté l’argent mais l’aurait dépensé en « frais divers ». Puis, il a arrêté de parler à ses parents, car ils refusaient de lui faire à manger et sa lessive. Un ordre d’expulsion à effet immédiat Le couple a alors saisi la justice pour l’expulser. Au cours de l’audience ce mardi 22 mai 2018, le juge à la Cour suprême de New York a tenté de convaincre Michael de quitter le domicile familial. Cependant le trentenaire a continué de refuser. Il a argué qu’en tant que membre de la famille, il pouvait bénéficier d’un avis de six mois pour laisser le nid familial. Exaspéré, le juge a qualifié la demande de « scandaleuse ». Il a lui aussitôt remis un ordre d’expulsion à effet immédiat. Michael Rotondo a indiqué qu’il portera la décision du juge en appel.
Ces cambrioleurs auraient sans doute choisi une autre maison à piller s’ils avaient su à quel point le propriétaire allait se venger ! C’est au Paraguay que Milciades Moria âgé de 33 ans a été la victime de voleurs. Cependant, il n’a pas gardé son statut de victime bien longtemps puisqu’il n’a pas hésité à s’en prendre aux cambrioleurs. Comme nous pouvons le voir sur les vidéos prises par les caméras de surveillance, une femme, qui serait sa femme de ménage, attendait devant son domicile. Il n’y avait rien d’anormal jusqu’à ce qu’il ouvre la porte de son garage et ne voit tenter de s’échapper deux cambrioleurs avec leur butin en main. Il leur roule dessus ! Voulant régler le problème sans plus tarder, c’est au volant de sa voiture qu’il est parvenu à en percuter un. Par la suite, il n’a pas hésité à foncer sur leur véhicule jusqu’à ce qu’ils prennent la fuite… bredouilles. Pas de chance pour les malfrats, en venant dans une voiture qu’ils ont louée, la police a pu retrouver leur identité. Les images datent d’il y a un an mais la vidéo fait aujourd’hui le buzz sur la toile.
Des trafiquants de drogue ont livré par erreur près de 67 kg de cannabis à des policiers, à Bondy, en Seine-Saint-Denis. L'enquête a été confiée à la police judiciaire du département. Mercredi soir, le 23 mai 2018, deux dealers ont abordé par erreur des policiers en civil de la brigade anticriminalité, à Bondy, en Seine-Saint-Denis. Ces derniers étaient en mission de surveillance pour une affaire de voiture volée. Pensant avoir affaire à leurs clients, les deux trafiquants de drogue ont alors demandé s’ils attendaient une livraison. Très étonnés, les policiers ont répondu par l’affirmative. Puis, ils les ont suivi jusqu’à leur voiture. Après avoir mis la main sur deux valises qui contenaient près de 67 kg résine de cannabis, les policiers ont ensuite tenté d’interpeller les dealers. Une interpellation hors norme à Bondy Cependant, une violente interpellation a éclaté après que les délinquants ont pris la fuite. Selon Europe 1, les policiers ont même été forcés de faire usage de leurs pistolets à impulsions électriques. Après avoir été maîtrisés, les deux trafiquants de drogue ont été placés en garde à vue. L’un d’eux était déjà connu de la police. L’enquête a été confiée à la police judiciaire du département.
PRINCE HARRY - Désormais mariés, le prince Harry et Meghan Markle auraient la ferme intention de devenir parents... L'ESSENTIEL Presque une semaine après un mariage en grande pom
pe, il se murmure que le prince Harry et Meghan Markle, désormais mari et femme, soient déterminés à fonder une famille. C'est en tout cas ce que croit savoir Public, qui avance que le duc et la duchesse de Sussex comptent bien profiter du calme de leur voyage de noces d'ici quelques semaines. Ces prévisions, bien qu'il ne s'agissent que de rumeurs pour l'instant, ne paraissent en tout cas pas improbables tant le timing semble parfait. Meghan Markle a 36 ans, le mariage est désormais acté, tout paraît réuni pour accueillir un "royal baby" en bonne et due forme. Quoi qu'il en soit, vu l'engouement des Britanniques pour chaque naissance royale, il se pourrait bien que la presse locale s'empare du sujet très prochainement... EN DIRECT 18:53 - Meghan Markle et le prince Harry : un bébé pour bientôt ? [FIN DU DIRECT] Même si on ne connaît ni la date ni le lieu, les nouveaux époux, mariés depuis samedi dernier, pourraient profiter du calme de leur voyage de noces pour concrétiser leur envie de fonder une famille. C'est en tout cas ce qu'avance Public, qui nous apprend que Meghan Markle et le prince Harry seraient bel et bien "décidés" à devenir parents. Il n'est donc pas impossible que la mariée, à 36 ans, devienne mère d'ici à l'année prochaine... 18:37 - Quand une ex du prince Harry brise le protocole Le prince Harry a gardé de bonnes relations avec Chelsy Davy, avec qui il est resté en couple pendant sept ans. Pour preuve, cette Sud-Africaine de 32 ans était invitée à son mariage avec Meghan Markle. Mais l'ancienne compagne du duc de Sussex s'est faite remarquer en brisant quelque peu le protocole d'un mariage princier. Des invités ont confié au Mirror, quotidien britannique, que Chelsy Davy avait enlacée Meghan Markle de façon un peu trop chaleureuse. "La manière correcte aurait été de faire la révérence envers la mariée, désormais Son Altesse Royale. S'incliner ou faire une révérence, puis la féliciter de manière plus familière", explique un expert de la famille royale au Daily Express. 18:15 - La somme allouée à la sécurité du mariage dévoilée Le mariage entre Meghan Markle et le prince Harry a coûté, au total, 37 millions d'euros à la couronne britannique. Si la restauration et les boissons ont fait quelque peu grandir la note, il y a un élément qui dépasse tous les autres, et de très loin : la sécurité, qui représente 94% du prix total ! Pour que l'événement de samedi dernier soit sécurisé, 34 millions d'euros ont été déboursés, selon le magazine anglais Express. 16:18 - La mère de Meghan Markle fait l'unanimité Elle était la seule représentante de la famille Markle samedi dernier à Windsor, lors de l'union de sa fille avec le prince Harry. Cette femme d'une soixantaine d'année, réputée discrète et peu amatrice des événements mondains, a plus que réussi son épreuve du feu. De nombreux twittos lui ont rendu hommage, saluant sa simplicité et son courage d'affronter seule une telle institution qu'est la famille royale britannique. Professeure de yoga à Los Angeles, Doria Ragland a ému le monde entier après ses quelques larmes lors du consentement des deux époux dans la chapelle Saint-Georges... Invitée à habiter auprès de sa fille et de son gendre à Kensington Palace, la mère de Meghan Markle, a, selon Gala, décliné poliment cette possibilité, préférant rejoindre la Californie et surtout garder son relatif anonymat. 16:04 - Meghan Markle et Camilla Parker-Bowles déjà proches ? C'est en tout cas ce qui a semblé être le cas lors de la garden party ce mardi, qui symbolisait la première apparition publique de Meghan Markle en tant qu'épouse du prince Harry. Les deux femmes sont apparues très complices lorsque le duc de Sussex, en plein discours, s'est fait attaquer par une abeille. Camilla a également montrer son affection à la nouvelle membre de la famille royale en lui tenant la main sur une photo de cette journée qui célébrait les 70 ans du prince Charles. "Toucher et tenir la main est actuellement très populaire auprès des dirigeants politiques sur la scène mondiale, mais pour la famille royale, c'est toujours un geste rare en public", explique auprès du Daily Mail l'experte en langage corporel Judi James. 15:32 - Entendu lors du mariage, petite confidence du père du prince Harry La soirée qui a suivi la noce était des plus inhabituelles pour une famille royale. Le prince Charles, qui a accompagné Meghan jusqu'à l'autel samedi 19 mai, a partagé quelques anecdotes à la nuit tombée. Quelques jours après les noces, la presse people indique qu'il a notamment livré ce jour-là des souvenirs de Harry bébé, de ses changements de couches au biberon. "Je l'ai tellement asti­coté qu'il doit encore avoir besoin de prendre l'air", a-t-il confié, non sans déclencher les rires de son auditoire. 15:02 - Harry et Meghan Markle : la lune de miel, ce n'est pas pour tout de suite ! Mariés depuis près d'une semaine désormais, les époux royaux ne sont malgré tout pas près de s'envoler pour leur voyage de noces. La faute au protocole qui les contraint à participer à des événements officiels, comme la garden party à Buckingham il y a quelques jours ou encore le 9 juin prochain, pour la parade "Troo­ping The Colour" à Londres, célébrant l'anniversaire de la reine Elizabeth II. Bref, la duchesse et le duc de Sussex ne sont pas encore sous le ciel bleu de la Namibie, destination la plus évoquée ces derniers temps, bien que rien ne soit officiel. 14:37 - On sait pourquoi un siège est resté vide pendant la cérémonie Beaucoup d'internautes et de twittos s'interrogeaient sur le siège inoccupé à côté de William et devant la reine Elizabeth II dans la chapelle Saint-Georges samedi dernier lors du mariage princier. Pas mal de théories ont été établies, notamment celle qui voulait que ce soit un hommage à Lady Diana... Mais il n'en est rien ! Cette place était inoccupée tout simplement... Pour ne pas cacher la vue de la reine ! 14:24 - Le photographe du mariage raconte le coup de fatigue des mariés Si la journée de samedi, lors de laquelle Meghan Markle et le prince Harry se sont dit "oui", restera à jamais dans leur mémoire, cela n'en reste pas moins une journée harassante. Entre la cérémonie religieuse, la parade devant des milliers de spectateurs et la soirée du soir, le rythme a été intense et les mariés ont semble-t-il accusé le coup. Le photographe officiel du mariage raconte les trois minutes qu'il a eu pour prendre la photo des époux. Nous sommes allés dehors, nous avions à peu près trois minutes et demi pour prendre quelques rapides photos parce que le temps défilait. (...) J'ai dit : 'juste avant de rentrer, asseyez-vous sur ces marches'. Elle s'est écroulée entre ses jambes et il y a eu ce moment où ils ont ri parce qu'ils étaient fatigués et qu'ils ont réalisé que tout était enfin terminé", a confié Alexi Lubomirski à la BBC. 14:04 - Mariage de Harry et Meghan Markle : et maintenant, la lune de miel ? Tradition oblige, chaque mariage est bien évidemment suivi d'une lune de miel. Mais malheureusement pour Meghan Markle et le prince Harry, il va falloir patienter un peu avant de s'envoler vers la destination de leur rêve. Avant cela, ils devront honorer leurs premières obligations royales, comme hier lors d'une garden party au palais de Buckingham. Concernant le lieu de cette "honeymoon", rien d'officiel pour l'instant mais il se murmure que le couple se rendra en Namibie, ce pays situé à la pointe Sud-Ouest de l'Afrique, entre l'Afrique du Sud et l'Angola. 12:39 - Meghan Markle va prendre des leçons de codes royaux Selon le quotidien britannique The Times, l'épouse du prince Harry va passer les six prochains mois à prendre des cours afin d'intégrer les nombreux codes propres à la famille royale ! Elle étudiera aux côté de Samantha Cohen, l'assistante personnelle de la reine d'Angleterre. The Times lui promet un "entraînement intensif". Protocole, façon de se tenir, art de vivre... Meghan Markle s'apprête à devenir un vraie duchesse ! 12:29 - Meghan Markle a offert un bracelet à Kate Middleton Afin de la remercier pour son aide lors des préparatifs du mariage, la toute nouvelle duchesse de Sussex a souhaité faire un geste envers Kate Middleton. Meghan Markle a imaginé et offert à sa belle-soeur un bracelet en or. La confection a été confiée à Lisette Polny, la fondatrice de la bijouterie Zofia Dayse, selon BFM TV. Vous pouvez d'ailleurs acquérir ce bijou appelé "Kensington" sur le site de la créatrice, contre la somme de 380 euros 12:12 - Victoria Beckham répond à la polémique de sa tenue La femme de David Beckham a essuyé quelques critiques pour sa tenue portée lors du mariage de Meghan Markle et du prince Harry, jugée trop sombre et trop "enterrement". Une petite polémique face à laquelle l'ancienne membre des Spice Girls est restée de marbre. C'était un tel soulagement de ne pas être enceinte à ce mariage royal-là que c'était un plaisir de pouvoir choisir ce que je voulais porter", a-t-elle déclaré au London Evening Standard, faisant référence à sa grossesse lors du mariage de Kate et William en 2011. 11:45 - Peut-on appeler Meghan Markle "princesse" ? En épousant un prince, Meghan Markle ne devient pas pour autant une princesse... La faute à ses origines roturières, qui la privent du titre de "princesse Meghan". Pour rappel, seules les femmes ayant du sang royal peuvent porter ce titre. Au lieu de ça, l'épouse du prince Harry est malgré tout duchesse de Sussex. Lady Diana, par exemple, avait pu récupérer le titre de princesse car elle était elle-même descendante d'une famille royale. 11:31 - Non, Meghan Markle ne doit pas faire la révérence à Kate Middleton Certains s'étaient interrogés sur le fait que Meghan Markle, nouvelle arrivante dans la famille royale depuis son mariage avec le prince Harry, ne s'incline pas devant la future princesse consort de la couronne britannique. Mais en réalité, elle n'a pas à le faire. "Ses Altesses Royales s'inclinent et font la révérence à la reine ainsi qu'aux autres monarques, mais pas les uns aux autres", a indiqué sur Twitter Richard Palmer, spécialiste de la famille royale pour le Daily Express. Voilà qui est clair.
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